• Comme dit précédemment, il y a deux paquets, donc deux liens. Et si le second croit que je l'ai oublié, il se trompe lourdement.

    Allez, hop !!!

    Un nouveau paquet - 3

    Viens un peu par là que je m'occupe de toi.

    Un nouveau paquet - 3

    Glissades pour toi aussi.

    Un nouveau paquet - 3

    Un nouveau paquet - 3

    Un nouveau paquet - 3

    Un nouveau paquet - 3

    Un nouveau paquet - 3

    Et puis on récupère le copain au passage ...

    Un nouveau paquet - 3

    ... et les deux ensemble, c'est encore mieux !

    Un nouveau paquet - 3


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  • Le plus intéressant pour moi, quand un nouveau paquet arrive, ce sont les liens. Ah ! Les liens !!! C'est toute une palette de jeux qui s'offre à moi ! Et ça, je vous le dis, ça n'a pas de prix.

    Il y en a deux, puisque deux paquets, donc l'embarras du choix.

    Un nouveau paquet - 2

    Tiens, toi tu es à portée de patte.

    Un nouveau paquet - 2

    Viens là que je t'attrape !

    Un nouveau paquet - 2

    Un nouveau paquet - 2

    Descendez, on vous demande !

    Un nouveau paquet - 2

    Viens un peu par ici, que je te fasse ta fête !!!

    Un nouveau paquet - 2

    Un nouveau paquet - 2

    Glissades sur le plancher ...

    Un nouveau paquet - 2

    ... ça, c'est le top !

    Un nouveau paquet - 2


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  • Pascale vient de recevoir son nouvel APN. Je m'intéresse au déballage de la chose, c'est normal : du nouveau chez moi, je ne peux pas l'ignorer ! Il y a tout d'abord les cartons. Non pas pour monter dedans (ça ne m'intéresse guère), mais il y a de nouvelles odeurs et il faut que j'y appose mes marques.

    Observation des intrus ...

    Un nouveau paquet

    ... moment de réflexion ...

    Un nouveau paquet

    Un nouveau paquet

    ... étude des odeurs ...

    Un nouveau paquet

    ... marquage du terrain, histoire de faire savoir qui est la propriétaire des lieux.

    Un nouveau paquet


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  • Extrait de roman

    Petit aparté de Pascale.

     

    Extrait du livre d'Anny Duperey "Les chats de hasard". Des mots très vrais, oh combien !!! qui m'ont interpellée parce que c'est comme ça que je le ressens et je sais que nombre d'entre vous pensent de même.

    "Accepter qu'une bête entre dans sa maison, s'y installe à demeure, inclut du même coup l'engagement de lui rendre la vie la meilleure possible, suivant ses moyens, de l'aimer et d'en prendre soin jusqu'à sa mort, quoi qu'il arrive. C'est comme un mariage ou une véritable adoption. Si c'est un chat ou un chien, on "en prend" pour quinze à vingt ans. C'est dire si c'est grave et s'il faut bien réfléchir avant d'ouvrir sa porte et son cœur. Rien ne doit être fait ou décidé à la légère. Dans cette optique, c'est une personne à part entière qui va s'installer chez vous, une personne-chat, une personne-chien ou une personne-cheval, en tous cas quelqu'un dont il faut découvrir le caractère, avec ses qualités et ses défauts, et avec qui il faut chercher à avoir une relation particulière, parfois surprenante, l'entretenir et l'enrichir ensuite - sans parler des soins physiques. Cela demande beaucoup d'attention, d'ouverture envers une manière d'être animale dont on ne possède pas les codes - et pour cause - donc un don d'observation, de la tolérance, de la patience et de la disponibilité. Cela requiert aussi de trouver un statu quo entre son propre mode de vie, ses besoins, et les siens, voire d'adapter légèrement sa maison.

    L'intolérance de beaucoup de gens envers l'être animal se traduit d'ailleurs souvent par des détails domestiques. On veut une bête avec soi - ou pour faire plaisir aux enfants - mais on ne supporte pas qu'elle bouscule quoi que ce soit. C'est elle qui doit s'adapter entièrement à l'ordre humain : ne pas faire de bruit, ne pas faire de traces, ni laisser des poils sur les fauteuils, ni avoir envie de manger ce qu'on laisse traîner.

    ...

    Si tant est que l'on soit responsable et prêt à accepter l'animal physiquement et matériellement, en toute connaissance de cause, encore faut-il cultiver une disposition morale qui n'est pas forcément évidente chez tous : la constance. Il ne s'agit pas de se lasser, de l'oublier six mois après - sans aller jusqu'à parler des abandons pour cause de déménagement ou de vacances : indignités suprêmes. Il n'est pas question de détourner son intérêt de lui parce qu'autre chose de nouveau vous occupe dans la vie, car l'affection de l'animal, elle, reste indéfectible. En effet, si l'on a fait le minimum pour se faire aimer d'eux, les animaux sont naturellement enclins à la fidélité. Chez eux, il n'y a pas de lassitude, de retour de flamme, de trahison, de caprices possibles, pas même, normalement, de sautes d'humeur, sauf passagères chez quelques individus caractériels. Ils ignorent les complications sentimentales. En tous cas, il n'y a pas de régression dans leur affection pour vous. Et ce qu'il y a de merveilleux et de rassurant dans une relation avec un animal : elle ne peut que progresser si vous avez su développer en vous une constance et une loyauté égale aux siennes.

    Cela demande quelques efforts, car ces qualités sont rarement infaillibles chez l'être humain. Les développer au contact de nos compagnons à quatre pattes peut d'ailleurs, j'en suis convaincue, être un bon entraînement pour développer nos amours et nos amitiés humaines ... Certains iront même jusqu'à penser que les bêtes nous aiment "mieux" que nos semblables infidèles et frivoles, et se consolent ainsi de leurs échecs et de leurs déceptions. C'est un pas hasardeux que je me garderai bien de sauter. C'est faux, je pense. Mais nous avons à apprendre, oui, à progresser en tendant vers les qualité simples de nos animaux familiers."

    A méditer !!!

    Extrait de roman


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  • Une queue et une souris

    Une queue et une souris

    Une queue et une souris

    Une queue et une souris

    Une queue et une souris

    N'éxagère pas ! Elle ne te gêne pas, ma queue !!!

    Une queue et une souris


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