• Être sur les genoux de Pascale et faire ma "ronronnette", c'est toujours un réel plaisir, autant pour elle que pour moi. Un moment de pur bonheur !

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    N'ai-je pas l'air aux anges ? C'est la FÉ-LI-CI-TÉ, le Nirvana. Et je vous dis pas, le petit moteur à ronrons fonctionne à plein régime dans ces cas-là !


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  • Coucou, les copinautes ! Quelques mots pour donner des nouvelles car Pascale n'a pas eu trop de temps pour vous visiter, ces derniers jours. En effet, ma santé n'a pas été merveilleuse et nous a causé bien des tracas. Finalement, mes brûlures sont plus graves qu'il n'y paraissait. Dimanche et lundi, ça allait à peu près, même si on sentait que j'avais une gêne pour marcher. Mais mardi soir, Pascale a trouvé que je n'allais pas bien : je cherchais sa compagnie beaucoup plus qu'à l'ordinaire, miaulait plus que de coutume, et je n'avais pratiquement rien mangé depuis dimanche. Alors elle a appelé la clinique vétérinaire et mercredi matin, nous y somme allées.

    D'abord, ça n'a pas été une mince affaire pour m'attraper et me mettre dans la cage de transport : course poursuite dans la salle à manger toutes portes fermées, moi sautant en haut des meubles pour m'y réfugier, toute crachante et feulante, et Pascale essayant de me bloquer et de m'attraper avec la couverture de mon panier pour ne pas prendre de coups de griffes. Trois fois elle est arrivée à me mettre dans la cage, trois fois j'ai réussi à en sortir. En désespoir de cause, elle a téléphoné à la clinique où on lui a dit de venir chercher une de leur cages à eux et d'attendre que je me calme, quitte à ne m'emmener que dans l'après-midi. Quand elle est revenue, je m'étais réfugiée dans la salle de bains, plus tranquille, et je me léchais. Elle a alors rusé : j'aime bien quand elle me brosse, et comme j'avais plein de poils qui tombaient suite à la poursuite, elle m'a brossée et ça a fini de me calmer. Je me suis couchée sur la chaise et j'ai voulu attraper la serviette de toilette pour me coucher dessus. Pascale l'a donc prise et posée sur moi, et elle en a profité pour m'attraper et me mettre dans la boîte de la clinique, qui se ferme par dessus, donc plus facile que la mienne qui s'ouvre sur le devant. Et nous voilà enfin parties pour la clinique, mais comme il était l'heure qu'elle parte travailler, elle m'y a laissée, la vétérinaire lui ayant dit de repasser me prendre dans l'après-midi.

    Et quand elle est revenue, grosse inquiétude. La vétérinaire lui a expliqué qu'elle avait été obligée de me raser le ventre et les pattes arrières pour voir comme il faut et que j'étais plus brûlée que cela semblait. Je ne vous raconte pas la réaction de Pascale, complètement catastrophée. Elle qui culpabilisait déjà, elle s'en voulait à mort de ne pas être venue plus tôt, de ne pas s'être rendue compte de suite que c'était plus grave qu'il ne semblait. La vétérinaire lui dit alors que même eux n'auraient pas pu le voir avant, qu'en général on ne peut se rendre compte de l'étendue des dégâts que quelques jours après et qu'elle était venue au bon moment. Bon, dit Pascale, admettons. La vétérinaire lui donne ses instructions pour me soigner (nettoyage des brûlures avec de la Bétadine et pommade cicatrisante matin et soir, plus comprimés anti-douleurs pour trois jours, et j'ai eu une piqure d'antibiotiques avec effet pendant quatorze jours et une piqure anti-douleur) et lui dit qu'il faut revenir pour voir si cela ne nécrose pas. Si c'est le cas, il faudra m'hospitaliser deux semaines pour me soigner. J'ai une collerette autour du cou pour m'empêcher de me lécher. Rendez-vous pris pour deux jours après afin de voir ce que ça donne.

    Comme je ne suis pas trop du genre à me laisser faire, c'est assez galère pour me passer la Bétadine et me mettre la pommade, d'autant que Pascale n'a personne pour l'aider à me tenir. Je grogne et me débat quand elle essaie de me bloquer. Mais tant bien que mal, elle y arrive. Les médicaments font leur effet, j'ai moins mal mais suis plutôt paralysée par cette maudite collerette qui m'empêche de bouger comme je veux, de poser ma tête où je veux et surtout de me lécher. Pascale fait tout ce qu'elle peut pour m'aider. Elle me donne à boire sous le museau, à manger en montant ma gamelle sous la collerette. J'ai recommencé à manger un petit peu. Elle me donne tout ce que j'aime pour m'inciter à le faire. Je dors beaucoup, passe le plus de temps possible sur ses genoux quand elle est là avec un concert de ronrons.

    Ce matin, nous sommes donc revenues à la clinique. Bilan plutôt positif. Apparemment, la nécrose redoutée ne se montre pas, pas de fièvre donc pas d'infection. Les brûlures sèchent assez bien, mais il reste quelques petits points un peu trop humides. Alors pommade au moins une fois par jour, deux si possible (si je me laisse faire !!! la vétérinaire a vu que je ne suis pas facile à soigner !), et garder absolument la collerette pendant minimum quinze jours car des brûlures sont toujours longues à cicatriser. Nouveau rendez-vous est pris pour mardi prochain.
    Je vais beaucoup mieux, même si je suis toujours plus ou moins paralysée par cette maudite collerette. La vétérinaire dit que je vais m'y habituer, que d'autres l'ont fait avant moi en la portant pendant deux ou trois mois. Je voudrais la voir, elle, avec ça autour du cou !!! En plus, Pascale me fait la guerre pour m'empêcher de lécher les endroits blessés que j'arrive à atteindre en tendant mes pattes à fond pour passer outre la collerette. Dure la vie, en ce moment, moi je vous le dit !

    Et Pascale culpabilise à mort, je vous raconte pas ! Elle s'en veut comme c'est pas permis, se disant, malgré l'avis de la vétérinaire, qu'elle aurait dû se rendre compte plus tôt que c'était plus grave que ça. Alors moi, les copinautes, comme je suis une petite maligne, j'en profite pour me faire dorloter encore plus !!!

    Allez, pour ne pas rester sur une note négative, demain on vous poste des jolies photos. Il faut PO-SI-TI-VER !!!

    Ronrons et calinous à tout le monde, copinautes à deux et quatre pattes !!!

    a612


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  • ... la toilette. Normal ! Comme nous sommes très propres, nous les félins, après avoir mangé, nous nous toilettons. Et là, le nettoyage du museau est proportionnel à la qualité du repas : plus c'est bon, plus la toilette est intense. Alors, après une si délicieuse pâtée, je fais une toilette dans les règles de l'art. Il ne s'agit plus d'un simple coup de langue sur les babines. Non, non ! Passe et repasse la patte sur tout le museau jusqu'aux oreilles !

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