• Lorsque j'ai eu 6 mois, Pascale m'a emmenée à la clinique vétérinaire pour me faire stériliser. C'était une épreuve nécessaire, autant pour moi que pour elle. Au moins, comme cela, je n'aurai pas à supporter les inconvénients des chaleurs et elle non plus.

    Elle m'a amenée le matin de bonne heure à la clinique. Lorsque nous sommes entrées, j'ai commencé à cracher : l'ambiance ne me plaisait pas trop. L'opération s'est bien déroulée mais après le réveil j'ai trouvé le temps long parce que, comme elle rentre après 20 heures, Pascale n'a pas pu venir me chercher le soir. J'ai donc passé la nuit à la clinique. Et là, il m'a fallu supporter tous les bruits des autres animaux, en particulier un chien qui n'en finissait pas de se lamenter. Alors j'ai protesté ! Ben oui, quoi ? Normal ! Je voulais dormir, moi ! Et quand Pascale est arrivée le lendemain matin, j'étais bien contente de partir de là. La vétérinaire lui a dit que j'ai un sacré caractère ! Attendez ! C'est vrai que j'en ai, mais bon, on ne peut pas non plus se laisser marcher sur les pattes, quand même ! Et puis mon papa est à moitié siamois, alors ça laisse des traces !

    La convalescence s'est bien passée. J'avais des petits comprimés à avaler pour éviter la douleur. OK, je reconnais que cela n'a pas été très facile pour Pascale de me les faire prendre. Je ne suis pas facile à attraper si je ne le veux pas et encore moins à immobiliser. Et puis, les points me tiraient un peu. J'ai bien essayé de les arracher, mais je n'y suis pas arrivée. Ils étaient bien attachés ! Cela faisait peur à Pascale quand elle me voyait tirer dessus. Elle craignait que je ne me fasse mal.

    Et puis nous sommes retournées à la clinique pour les faire enlever. Euhhhh ! Je dois reconnaître que cela n'a pas été facile de me remettre dans la cage qui avait encore l'odeur de la clinique. Pascale à dû me bloquer dans le couloir en fermant toutes les portes pour arriver à m'attraper ! C'était un mauvais moment à passer. Pendant que la vétérinaire m'enlevait les points, Pascale me parlait gentiment pour me calmer. Je ne la quittais pas des yeux.

    Maintenant c'est fini, et je suis tranquille. Je tiens une forme olympique et je peux faire plein de bêtises !!!!

    Cat558


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  • Les congés de Pascale se sont bien passés. J'ai pris mes marques sans problème. Il aurait fallu être difficile, quand même, pour ne pas se sentir à l'aise : tout était fait pour. Nous sommes même parties chez Sandrine pour fêter Noël. Nathaniel et Enzo étaient ravis. Et moi, j'ai fait de l'exploration, pas trop dépaysée. J'ai voulu jouer avec Caresse mais elle n'a rien voulu savoir. Tant pis pour elle, qu'elle reste dans son coin.

    Et puis il a bien fallu qu'elle reprenne le travail. Nous avons donc établi un nouveau rythme de vie. Pas trop dur à faire, il faut le reconnaître. En effet, Pascale commence assez tard le matin (11 h 00 ou 11 h 30 suivant les semaines) et elle revient manger à la maison. Son passage, même s'il est bref parfois (certaines semaines, elle n'a qu'une heure de pause déjeuner, alors avec le trajet aller/retour c'est un peu juste en temps et elle doit faire vite) cela coupe la journée. Et le soir, elle est là vers 20 h 10. Nous avons pris le pli. En plus, lorsqu'elle s'en va, elle n'oublie pas de me donner des friandises et de me dire au revoir avant de fermer la porte.

    Quand elle s'installe sur le canapé pour regarder la télévision, elle ne manque pas de s'occuper de moi. Nous jouons beaucoup. Pas que le soir d'ailleurs. Le week-end également. Elle me parle aussi et je lui réponds. Nous avons de vrais conversations.

    En résumé, la vie est belle !

    Cat429

     


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  • Le lendemain de mon arrivée, Sandrine, la fille de Pascale, a téléphoné pour savoir si elle pouvait venir avec les loulous : ils savaient que j'étais là et ils voulaient me voir, bien sûr !

    Pascale à dit oui, bien entendu.

    Quand ils sont arrivés, je dormais sur le canapé, bien calée entre deux coussins, comme en témoigne la photo que vous avez vue plus haut. Ils ont bien fait attention de ne pas me réveiller brusquement pour ne pas me faire peur. Ils n'en finissaient pas de me tourner autour, attendant avec impatience que j'ouvre les yeux.

    Quand j'ai été réveillée, c'était à celui qui me prendrait dans ses mains. Surtout Nathaniel, le plus grand. Je suis même restée un grand moment sur ses genoux. Il s'était assis par terre et je me suis confortablement calée sur ses mains retournées. Il ne voulait plus bouger pour ne pas que je m'en aille. C'était super.

    Quand ils ont été partis (il a fallu que Sandrine râle un peu, parce que Nathaniel ne voulait plus me lâcher et Enzo voulait me prendre aussi), j'ai fait un gros câlin avec Pascale sur le canapé pendant qu'elle regardait la télévision.

    Je commençais à me sentir en confiance ici et en plus j'avais encore quelques jours pour prendre mes marques avant que Pascale ne reprenne le travail et que nous établissions un rythme de vie.

    Cat267


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