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Comme vous pouvez le constater, je suis de nouveau absente des blogs et de FaceBook, du net en général. Mon ordi, malgré une réinstallation de la configuration usine, inefficace, puis un formatage complet, fait de nouveau des siennes. Il est d'une lenteur exaspérante et joue avec mes nerfs. Je l'ai donc ramené chez le docteur "Collègues informatique" qui, entre deux coups de feu du boulot et trois appels téléphoniques simultanés, l'auscultent, lui font passer un scanner, voire le mettront sous perfusion et feront une opération à cœur ouvert si nécessaire. Il ne reviendra à la maison que guéri, du moins je l'espère. Cette nouvelle absence va donc encore être d'une durée indéterminée.
A .... plus tard dans vos espaces internautiques !
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... d'une observation tranquille (et toujours quoi que vous puissiez en dire ! ) de ZVPI (Zoziaux Volants Parfaitement Identifiés) . Comment ça n'existe pas ? Chez moi, oui !
Et toujours avec mon dos bien poussiéreux, bien sûr !
Je trouve que cette poussière sur mon pelage le décore agréablement et met la couleur de mes yeux en valeur. Non ? Bon, non, en fait, vous avez raison !
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... de jouer la commère dans la cour (donc de lire vos mises en garde ! ), après m'être bien roulée dans la poussière, je m'installe tranquillement pour regarder les zoziaux aller et venir entre le grand sapin et le toit. L'escalier pour remonter dans l'appart fissa vite vite en cas de phénomène non prévu par moi-même personnellement et qui viendrait facilement troubler ma quiétude est juste à côté de la plaque en métal.
Je savoure la quiétude de cette fin d'après-midi.
Tiens, un zoziau est passé au-dessus du chemin.
Tiens, un brin d'herbe est agité par un souffle d'air. Notez en passant que les résidus de poussière qui se sont accrochés à mon pelage et qui viennent en éclaircir la couleur sont toujours bien présents.
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... mais là, c'est pour le mien. Car se rouler par terre, rien de meilleur !!! Je le fais sur le sol en béton de la terrasse, et ça me fait pousser des grognements et petits cris de plaisir divers et variés, mais je n'avais jamais essayé sur le sol de la cour.
Et vas-y que je me tortille ...
... comme un ver coupé ...
... dans un sens ...
... dans un autre ...
... et que je me roule ...
... que je m'enroule ...
... que je me déroule ...
... que je m'étire ...
Le résultat sur mon pelage est ...
... comment dire ?
Visible ?
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... de lire vos mises en garde , me voilà couchée dans la cour, au soleil, à observer ce qui se passe autour de moi.
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